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EXPATRIATION, ASSURER SES ARRIÈRES

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Peu importe les raisons de cette expatriation, qu’elle soit pour acquérir une expérience professionnelle, réaliser un rêve en changeant de vie. Cependant au moment du changement, il est difficile de renoncer à un régime national si protecteur tel que celui de la France.

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EXPATRIATION, ASSURER SES ARRIÈRES

On estime qu’entre 2 et 2,5 millions de Français vivent à l’étranger et environs 50 000 au Portugal. Peu importe les raisons de cette expatriation, qu’elle soit pour acquérir une expérience professionnelle, réaliser un rêve en changeant de vie ou bien encore profiter d’un meilleur salaire. Cependant au moment du changement, il est difficile de renoncer à un régime national si protecteur tel que celui de la France.

Conserver ses allocations chômage

Nombreux sont ses qui quitte la France avec une promesse d’embauche dans leur nouveau pays d’expatriation. Cependant pour certain ce n’est pas le cas.

Les personnes qui choisissent de s’établir dans un État de l’Espace économique européen ou en Suisse sont protégés puisqu’ils bénéficient d’une continuité de leurs droits à l’assurance chômage. Les actifs ayant déjà entamé leur carrière doivent ainsi demander à Pôle emploi le « document U1 » avant leur départ. Ce formulaire récapitule la situation et permettra de faire valoir ses droits déjà acquis au chômage dans le pays d’accueil.

De même, il est possible de transférer les allocations perçues en France. Pour cela, il est nécessaire d’avertir le Pôle emploi de l’intention de partir afin qu’il vous remette le « document U2 » qui sera nécessaire pour s’inscrire auprès des services de l’emploi du pays de destination, dans les sept jours suivant l’arrivée. Cela permettra de percevoir vos allocations pendant trois mois maximum.

La Sécurité sociale

Le point noir de l’expatriation, est la couverture santé. Cependant vous avez la possibilité de conserver vos droit à la Sécurité sociale. A condition d’adhérer à la Caisse des Français de l’étranger (CFE). De cette façon, le travailleur bénéficiera des mêmes remboursements de la Sécurité sociale que s’il résidait sur le sol national, et il cotisera pour ses droits à la retraite, sans quoi il sera pénalisé.

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Pour profiter d’une protection immédiate à l’étranger, il faut adhérer à la CFE dans les trois mois qui suivent le départ. Il faut compter par exemple 30 euros par mois pour un célibataire de moins de 30 ans, contre 145 euros pour un couple âgé de 30 à 34 ans.

Afin d’avoir une couverture optimale, mieux vaut cependant aussi souscrire une complémentaire santé. Mais attention, certaines limitent la prise en charge au pays de résidence à l’étranger, en excluant les soins reçus en voyage dans un autre État. Pour éviter cet écueil et faciliter la gestion, la CFE propose donc des « packs » communs avec plusieurs assureurs privés.

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